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[Charles Matheron]
Recueil
historique des merveilles que Dieu a opérées
à Notre-Dame du Laus, près de Gap en
Dauphiné, par l'intercession de la Sainte Vierge.
Et des principaux traits de la Vie de Benoiste Rencurel,
surnommée la Bergere du Laus.
Description de l'exemplaire (Voir : Notes sur la description des ouvrages)
Il existe 4 éditions ou
tirages de cet
ouvrage à la même date et même adresse :
« A Grenoble, Chez André Faure, Imprimeur
ordinaire
du Roy, rue du Palais. M. DCC. XXXVI. [1736] Avec Approbation &
Privilège du Roy. »
Je les ai différenciées par les
lettres a, b, c et d.
Notes sur l'ouvrage
Ce livre est la premier ouvrage imprimé sur l'histoire de Benoite Rencurel (1647-1718), à qui la Vierge est apparue à partir de 1664, et sur le pèlerinage de Notre-Dame du Laus. Il est le résumé de différents manuscrits laissés par des témoins contemporains.
Cette notice contient :
Description du texte et des
pièces annexes
Attribution
Tableau comparatif des 4
éditions
Rééditions
Description du texte et des
pièces annexes
Née en 1647, Benoite
Rencurel était
une modeste bergère, originaire de Saint-Etienne
d'Avançon dans les Hautes-Alpes. Alors qu'elle gardait ses moutons sur la montagne
du
Laus, la Vierge lui est apparue plusieurs fois à partir de
1664.
Dès 1665, malgré les réticences
initiales de
l'église, sur fond de jansénisme local, ces
apparitions
drainèrent un courant de dévotion populaire mené
par des religieux et des laïcs
qui croyaient en ses apparitions et tendaient à les faire
reconnaître. Parmi eux se trouvaient le juge
François
Grimaud, témoin de la naissance du pèlerinage, et
le
vicaire général du diocèse d'Embrun,
Antoine Lambert. Pierre Gaillard,
vicaire général du diocèse de Gap, est
nommé comme premier directeur du
pèlerinage. Celui-ci s’organise et se
développe. La
construction de l’église
s’achève en 1669.
Elle-même illettrée, Benoite Rencurel
n'était pas en
capacité de témoigner. Quatre
témoins qui ont personnellement connu Benoite
Rencurel ont laissé des mémoires manuscrits qui
seront la base de tous les récits ultérieurs. Ce
sont le juge François Grimaud, le vicaire
général Pierre Gaillard, le chapelain Jean
Peythieu et l'ermite François Aubin.
Benoit Rencurel étant
décédée le 28 décembre
1718, il n'y avait encore aucune publication à la gloire de
ce
pèlerinage naissant, hormis les mémoires
mansucrits. C'est Charles Matheron qui s'attela
à la tâche de rédiger et publier le
premier
témoignage sur Benoite Rencuurel et les apparitions du Laus.
Son
texte, fondé sur les témoignages manuscrits,
aurait
été écrit en 1722, si l'on en croit
une note de Théodore Gautier, dans son Précis de l'histoire
de la ville de Gap, Gap, 1844, note Q (p. 255). Il ajoute
d'ailleurs que le livre a été
écrit "avec une onction,
une naïveté, une pieuse et touchante
simplicité". Il est ensuite publié en
1736, première version imprimée
de cette histoire qui
fera autorité et référence jusqu'au
milieu du
siècle suivant, en attendant de nouveaux travaux
d'érudition.
Le texte de Charles Matheron raconte le vie de Benoite Rencurel en 17 chapitres. Les 15 premiers chapitres sont consacrés à sa vie jusqu'à son décès. Sont relatés sa jeunesse, le récit des apparitions et les différentes actions menées par les autorités ecclésiastiques pour s'assurer de la véracité de ces apparitions. D'abord conduites par le vicaire général du diocèse d'Embrun, ces enquêtes sont confortées par les évêques d'Embrun eux-mêmes, Mgr d'Aubusson et de Genlis. Le récit, qui, à aucun moment, n'émet le moindre doute sur ces apparitions, tend à démontrer que la Bergère a vaincu tous les obstacles pour faire reconnaître ses récits. Il est d'ailleurs peu fait allusion aux oppositions ecclésiastiques. De nombreux récits de miracles ponctuent la narration, pour mieux démonter le caractère miraculeux des apparitions de la Vierge. Enfin, ce texte présente les différentes étapes de la mise en place du pèlerinage, avec la construction de l'Eglise. Les deux derniers chapitres sont des Réflexions sur les apparitions de la très Sainte Vierge à la Bergère, qui repoussent tous les arguments des incrédules, et un Etat de la dévotion de notre-Dame du Laus depuis la mort de la Bergère, qui montre la persistance de la dévotion malgré le décès de Benoite Rencurel et décrit l'organisation du sanctuaire, sous la responsabilité des prêtres de la congrégation de Sainte Garde.
Ce récit principal
est accompagné d'autres textes, selon les
différentes éditions (voir détail
ci-dessous). Ce sont :
A
la très Sainte Vierge, texte de louanges en
l'honneur de la Vierge. On le trouve dans toutes les
éditions.
Avertissement.
Il s'agit en fait d'un texte introductif qui débute par une
longue explication sur le rôle et la place de la
Vierge dans la spiritualité catholique, pour se
terminer par un argumentaire en faveur des apparitions et de leur
caractère miraculeux. Il introduit ensuite le
récit qui vient relater par le détail ce que cet Avertissement
annonce.
Avis
au lecteur. Court texte qui annonce qu'une "personne qui
fréquente depuis longues années le saint lieu de
Notre Dame du Laus" a souhaité "faire part au public" des
faits qui ont eu lieu au Laus, en se fondant sur le "manuscrit qui
contient l'histoire de cette dévotion". L'auteur ne
précise pas quel manuscrit il a utilisé,
parmi les quatre qui ont été laissés
par les témoins.
Aujourd'hui, ce texte est unanimement attribué à Charles Matheron, mais ce n'a pas toujours été le cas. Il faut attendre un article d'Edmond Maignien : Le Recueil historique relatif à Notre-Dame du Laus, son auteur, paru dans la Petite revue des bibliophiles dauphinois, n° 11, juillet 1910 (pp. 55-57).
Dans cette article, E. Maignien attribue le livre à Charles Matheron en s'appuyant sur l'inventaire après décès de ses biens dressé le 21 septembre 1748, qui inventorie 154 exemplaires du Recueil, preuve qu'il en était l'auteur.
Il existe aussi l'hypothèse
qu'il aurait
été écrit par les Pères Gardistes, qui
à cette époque desservaient le
sanctuaire. L'auteur anonyme de Notre-Dame
du Laus et la vénérable sœur Benoite
d'après
les manuscrits authentiques conservés au pieux sanctuaire
(Gap, 1898), dans la notice très complète qu'il
donne de ce livre dans sa bibliographie (p. XXIII), dément
cette attribution en s'appuyant sur l'Avis au lecteur qui
décrit
l'auteur comme "une personne qui fréquente depuis de longues
années le
saint lieu".
Une des notices de la
Bibliothèque Nationale
donne comme
auteur Pierre-Antoine Farnaud. C'est une erreur due à la
confusion avec
le rôle que celui-ci a joué dans les
rééditions du
livre. L'erreur est d'autant plus manifeste que Pierre-Antoine
Farnaud est né en 1766. Malgré cela,
on retrouve
souvent cette attribution dans les notices de libraires.
Enfin, dans l'ouvrage La
fondatrice du sanctuaire de Notre-Dame du Laus. Benoîte
Rencurel.
Laïque, du tiers-ordre de Saint-Dominique (1647-1718),
biographie
documentée, de Marie-Agnès Vallart-Rossi et
René Combal, les auteurs
attribuent sans discussion la paternité de ce livre
à Charles Matheron
(pp. 500-501).
Tableau comparatif des 4
éditions
Ce tableau permet de comparer les 4
éditions du Recueil.
(a) | (b) | (c) | (d) | |
Typographie | Typographie
similaire, avec les mêmes jeux de caractères. Pour les différences, voir ci-dessous. |
Nouvelle typographie qui présente parfois des similitudes avec celles des deux éditions précédentes (Titre, A la Sainte Vierge) | Typographie entièrement renouvelée. | |
Dimensions | 157r x 88r mm | 150r x 90r mm | 142r x 88r mm | 142r x 84r mm |
Pagination du texte principal | 153 pp. | 181 pp. | 121-[1] pp. | 122 pp. |
Pagination totale | 153-[7] pp. | [8]-XXX-181-[8] pp. | XXXIV-122-[10] pp. | XXIV-121-[11] pp. |
Frontispice | Absent | Gravure
sur cuivre. Signé F. de Poilly. Vierge à gauche et Benoite à droite. |
Gravure
sur cuivre. Non signé. Vierge à droite et Benoite à gauche. Semble une reproduction inversée de la précédente, au trait moins fin. |
Gravure
sur bois maladroite et grossière. Non signé. Vierge à gauche et Benoite à droite. |
Titre | Recueil historique des merveilles que Dieu a opérées à Notre-Dame du Laus, près de Gap en Dauphiné, par l'intercession de la Sainte Vierge et des principaux traits de la Vve de Benoiste Rencurel, surnommée la Bergere du Laus. | Différences
(orthographe, accentuation, etc.) : "Recuëil", "Nôtre" et "près Gap". Typographie de la page de titre, y compris la vignette, similaire, voire identique à l'édition précédente. |
Différences
(orthographe, accentuation, etc.) : "Benoite" et "près Gap". Nouvelle typographie, mais proche de la précédente. Nouvelle vignette |
Différences
(orthographe, accentuation, etc.) : "Benoite" et "près Gap". Nouvelle typographie. Vignette remplacée par un fleuron. |
Adresse et date | Identique sur les 4 éditions : « A Grenoble, Chez André Faure, Imprimeur ordinaire du Roy, ruë du Palais. M. DCC. XXXVI. Avec Approbation & Privilège du Roy. » avec ces petites différences : | |||
Identique. | Identique. | "rue" et "Roi". | "rue" et "Roi". | |
Date réelle | 1736 | 1736 | Probablement 1756, date qui apparaît dans l'indulgence que l'on trouve dans certains exemplaires. | 1756, date qui apparaît dans l'indulgence que l'on trouve à la fin de l'ouvrage. |
A la très sainte vierge | Présent. | Présent. Typographie différente mais proche de la précédente, en particulier dans la mise en page. Nouveaux bandeau et lettrine. Même cul-de-lampe. |
Présent. Nouvelle typographie. |
Présent. Nouvelle typographie. |
Avis au lecteur | Absent. | Présent. | Absent. | Absent. |
Avertissement | Absent. | Présent. | Présent. Les fautes à corriger n'ont pas été prises en compte. |
Présent. Seule une des 3 fautes à corriger a été prise en compte. C'est celle qui correspond à une faute de grammaire, alors que les deux autres sont des modifications du texte. |
Texte principal. | Présent. | Présent. Nouvelle typographie. |
Présent. Les fautes à corriger ont été prises en compte. |
Présent. Les fautes à corriger ont été prises en compte. Le texte final (dernière page) est isolé avec un titre : « Acte de consécration à la Très Sainte Vierge ». |
Table des chapitres de ce livres | Présente et identique. Elle ne concerne que les 17 chapitres du texte principal et, dans aucune édition, elle ne référence les pièces annexes. | |||
Autorisation d'impression, signée par Le Rouge, à Paris, le 11 avril 1736. | Présente. Typographie strictement identique à l'édition suivante, avec les orthographes "Recuëil" et "Nôtre" que l'on ne trouve pas au titre. |
Présente. Typographie strictement identique à la précédente. |
Présente après l'Avertissement. | Présente en fin de l'Avertissement. |
Privilège daté du 22 avril 1736. | Présent et identique. | |||
Fautes à corriger | Absent. | Présent. | Absent (pour la prise en compte des Fautes à corriger, voir ci-dessus). | Absent (pour la prise en compte des Fautes à corriger, voir ci-dessus). |
Cantique, en 16 couplets, avec musique notée sur la première page. | Absent. | Absent. | Présent. | Présent. |
Indulgence. | Absente. | Absente. | Absente dans notre exemplaire. | Présente. |
Composition de l'ouvrage. | -
Titre (p. 1) et verso blanc. - A la très sainte Vierge (pp. 3-6). - Texte principal (p. 7-153). - Table ...(3 pp. non chiff.). - Autorisation d'impression et privilège (4 pp. non chiffrées). |
-
Frontispice (hors texte). - Titre (1 p. non. chiff.) et verso blanc. - A la très sainte Vierge (4 pp. non chiff.). - Avis au lecteur (2 pp. non chiff.). - Avertissement (pp. I-XXX). - Texte principal (pp. 1-181). - Table ... (3 pp. non chiff.). - Autorisation d'impression et privilège (3 pp. non chiff.). - Les fautes à corriger (1 p. non chiff.). |
-
Titre (p. I) et verso blanc. - A la très sainte vierge (pp. III-VI). - Avertissement (pp. VII-XXIII). - Autorisation d'imprimer (p. [XXIV]). - Texte principal (p. 1-122). - Table ... (p. [1-2]). - Privilège (p. [3-4]). - Cantique (p. [5-10]). |
-
Page blanche et, au verso, gravure (pp. I-II) - Titre (p. III) et verso blanc. - A la très Sainte Vierge (pp. V-VI). - Avertissement (pp.VII-XXIV), qui est la reprise du texte de 1736. Cet avertissement se termine par l'autorisation d'impression qui se trouve après la table dans l'édition de 1736. - Texte principal (pp. 1-121). La page 120 est numérotée 110. - Acte de consécration à la très Sainte Vierge (p. [122]). Dans l'édition de 1736, ce texte se trouve à la fin du texte, sans en être séparé par un titre (pp. 180-181). Table ... (pp. [1-2]). Privilège (pp. [3-4]). Cantique (pp. 5-9]. Indulgence (p. [10]), datée du 28 janvier 1756. |
Ces descriptions sont
fondées sur les
exemplaires que je possède. Il existe pourtant d'autres
exemplaire qui présentent des différences avec
ceux-ci.
Un exemplaire numérisé
de la Bibliothèque Municipale de Lyon,
Fonds
bibliothèque Les Fontaines, Chantilly (cliquez-ici) qui correspond
à l'édition (c) comporte en fin d'ouvrage,
après le texte principal :
- Privilège (p. [1-2])
- Cantique,
en 8 couplets, au lieu de 16 (p. [3-5]) avec une typographie un peu
différente.
- Indulgence (p. [6]), avec la date de 1756.
- Table ... (p.
[7-8])
Les pièces en introduction (A la Sainte-Vierge
et Avertissement)
sont un peu différentes (typographies, bandeaux). Pour le
texte
principal, la typographie (mise en page) est strictement la
même,
mais les ornements typographiques sont différents (bandeaux,
lettrines, fleurons entre les chapitres).
Un exemplaire
numérisé (Google Books) de
la Bibliothèque Municipale de Lyon (cliquez-ici) qui correspond
à l'édition (b) est identique, sauf qu'il ne
contient pas l'Avis au
lecteur. Un examen attentif de notre exemplaire montre que
cet Avis a
été imprimé sur un feuillet libre qui
a été ajouté au sein du
cahier a,
entre A la
très sainte Vierge et l'Avertissement (page
cartonnée). Cela explique que tous les exemplaires ne l'ont
pas.
Cet ouvrage a souvent
été
réimprimé. Edmond Maignien, dans
l'article
cité ci-dessus, affirme : "Cet opuscule a
été
réimprimé à Gap, de 1810 à
1828, une
dizaine de fois chez l'imprimeur Joseph Allier, on y a seulement
ajouté à la fin un ou deux cantiques".
La Bibliothèque Nationale
et la
Bibliothèque municipale de Grenoble possèdent des
exemplaires des éditions postérieures avec les
descriptions suivantes. :
- Avignon, L. Aubanel, 1817, in-12 (BNF : LK-5801 (A) et BMG :
U.6558)
- Gap, J. Allier, (1823.), in-12, 96 p., frontisp (BNF : LK-5801 (B))
- Gap : J. Allier, (s. d.), in-12, 96 p., frontisp. (BNF : LK-5801 (C)
et BMG : U.6559 avec la description X-96 pp. et la date de (1826 ?)
et U.6560 avec la date de (1828 ?)
Certains des exemplaires de la BNF sont aussi attribués
à Charles Matheron.
E. Maignien, dans le Dictionnaire des ouvrages
anonymes et pseudonymes...
(2168), précise qu'il a fait l'objet d'une dizaine de
réimpressions en l'espace de 20 ans, par l'imprimeur Allier,
de
Gap. Il cite une édition à Gap, Allier, 1830,
in-12, 96
pp. Il ajoute que Pierre-Antoine Farnaud "a donné ses soins
à la première édition de cet ouvrage
imprimé à Gap". C'est probablement cette
précision
qui a induit en erreur le rédacteur de la notice de la BNF.
Dans
la description de l'ouvrage, il donne 1722, puis 1736 avec Grenoble, A.
Faure et, enfin, 1795. C'est la seule mention d'une édition
à cette date.
A. Rochas signale une
édition Gap, Allier, 1823, in-12.
La description de l'édition
d'Avignon est :
Recueil historique des
merveilles que
Dieu a opérées à Notre-Dame du Laus,
près
Gap, en Dauphiné, par l'intercession de la sainte Vierge. Et
des
principaux traits de la vie de Benoite Rencurel, surnommée
la
bergère du Laus.
Avignon, Laurent Aubanel, Imprimeur-Libraire, 1817, in-12 (162r x 96r
mm), XIV-108 pp. (en pagination continue, la pagination arabe
commençant à 15), un frontispice hors texte.
La composition de l'ouvrage est légèrement
différente, mais les 17 chapitres de l'histoire de Benoite
Rencurel sont strictement identiques à l'édition
de 1736,
à quelques variantes orthographiques près.
Références (Voir : Liste des sources et références)
Notice biographique de Charles Matheron
Maignien (Anonymes) : 2168
Maignien (Catalogue) : 2424 et 2425.
Maignien (Imprimerie) : 1039
Petite Revue des bibliophiles
dauphinois, tome III (1910-1912), pp. 55-57. Article par Edmond Maignien.
Rochas : II, p. 338 (I)
Notre-Dame du Laus et la
vénérable sœur Benoite d'après les
manuscrits authentiques conservés au pieux sanctuaire : p. XXIII
Histoire de Gap et du Gapençais, de Th. Gautier, publié par Paul Guillaume : Tome II, p. 170, n. 1
Répertoire archéologique du département des Hautes-Alpes, de Joseph Roman : p. XII.
Précis de l'histoire de la ville de Gap, de Th. Gautier : p. 255
La fondatrice du sanctuaire de
Notre-Dame du Laus. Benoîte Rencurel. Laïque, du tiers-ordre
de Saint-Dominique (1647-1718). Biographie documentée, de
Marie-Agnès Vallart-Rossi et René Combal : pp. 500-501
(réproduction du chapitre XVII de la p. 604 à la p. 609.).
SdB : 805 (11 f.)
Lantelme : 807 (40 f.) : XXIV-122 pp et 5 ff.
Guillemin : 1146 et 2676
Les sommets de la bibliophilie dauphinoise : n° 42
Bibliographie du culte local de la Vierge Marie, par Léon Clugnet, Paris, A. Picard, p. 45-51 pour Notre-Dame du Laus. (non consulté).
Seule la BMG possède la collection complète des 4
éditions de 1736. La BNF ne possède qu'un seul
exemplaire (édition (b)). Dans les autres
bibliothèques
publiques (CCFr), on trouve un exemplaire dans ces 4
bibliothèques (sans assez de précision dans la
description pour l'attribuer à une édition
particulière) :
- Aix-en-Provence : Bibliothèque Méjanes
- Marseille : Bibliothèque municipale à
vocation régionale
- Avignon : Fonds patrimoine
- Paris : Institut Catholique
Remarque : les 2 exemplaires numérisés de la
Biblothèque de Lyon n'apparaissent pas au CCFr.
Pour les rééditions, hormis la BNF et la BMG, seule la Bibliothèque Sainte Geneviève possède un exemplaire.