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Émile Roux, dit Émile Roux-Parassac
Émile Roux, dit Émile Roux-Parassac (Sisteron
22/5/1874 - Paris XIVe 28/7/1940). Surnommé le barde alpin, il
fut un écrivain prolixe, donnant dans tous les genres : poésies, romans,
théâtre, etc. Il fut aussi un infatigable conférencier, ardent défenseur
et promoteur de ses alpes natales. Il prit le pseudonyme de Parassac du
nom d'un hameau de la commune de Veynes, où il passa une partie de sa
jeunesse.
Signe de l'oubli dans lequel il est tombé, il n'existe qu'une seule
biographie de cet écrivain, par Georges Dioque avec des souvenirs d'Émile
Escallier et publiée dans le Bulletin
de la Société d'Etude des Hautes-Alpes, en 1990 (voir
ci-dessous).
Trois portraits photographiques d'Émile Roux-Parassac (le premier est extrait de : Les Poèmes de l'Alpe et les deux autres de sa biographie dans le Bulletin...) et une caricature (« portrait-charge ») par Eugène Tézier (vers 1905) :
Pour agrandir, cliquez sur les photos |
Écriture d'Émile Roux-Parassac (envoi) :
Ouvrages de cet auteur sur ce site
Contes et légendes
de nos Alpes
Paul Guillemin
Les Poèmes de l'Alpe
Souffles d'en haut. Poèmes
intimes et poèmes alpestres.
Un Roman Scientifique
L'Alpinisme populaire
Sources (Voir : Liste des sources et références)
Emile Roux-Parassac, 1874-1940, par George Dioque et Emile Escallier, Bulletin de la Société d'Etudes des Hautes-Alpes, 1990, pp. 105-119, avec une bibliographie contenant les articles, les conférences, les poèmes, etc. et les ouvrages (cliquez-ici).
La date exacte de naissance d'Émile Joseph Roux est le 22 mai 1874, comme on peut le vérifier dans l'état civil de Sisteron (Naissances 1874, acte n° 60 du 23 mai 1874). C'est par erreur que l'on trouve la date du 23 avril 1874.
La date et le lieu exacts du décès d'Émile Joseph Roux sont le 28 juillet 1940 à Paris XIVe, comme on peut le vérifier dans l'état civil de Paris (Décès 1940, acte n° 3562, du 1er août 1940). Il est décédé à l'hôpital Cochin. Il était alors domicilié à Bagneux, au 100ter rue d'Arceuil [aujourd'hui, avenue Albert-Petit]. De même, contrairement à ce qu'affirme Georges Dioque, son épouse Augusta Cabardos n'est pas morte quatre jours après lui, mais dix jours, le 7 août 1940, aussi à l'hôpital Cochin.
Esquisse de généalogie : cliquez-ici, avec les copies des actes de décès.